Électrochocs / Le Concerto pour violon de Dvořák
Mercredi 5 Décembre 2018 - 20h30, Paris - Philharmonie, Grande salle Pierre Boulez
Jeudi 6 Décembre 2018 - 20h30, Paris - Philharmonie, Grande salle Pierre Boulez
Malheureusement, Lisa
Batiashvili est souffrante et ne pourra pas assurer les concerts des 5 et 6 décembre.
Elle sera remplacée par Josef
Špaček, considéré comme l’un des violonistes les plus prometteurs de sa
génération. Il a été entre autre l’élève d’Itzhak Perlman.
Aussi stupéfiant qu’à sa création en 1961 à Varsovie, Thrène de Penderecki se souvient des victimes d’Hiroshima. Cordes en fusion ou lançant des traits de feu, cette page d’une violence hypnotique récolta de nombreuses récompenses et fit beaucoup pour la reconnaissance du compositeur polonais. Autre choc, Le Sacre du printemps avec ses soubresauts rythmiques, ses forces primitives déchaînées, son exaltation charnelle de la danse ; la partition sent toujours le soufre plus d’un siècle après sa création tumultueuse. Le Concerto pour violon de Dvořák, véritable havre de paix, offre un contraste absolu. Composé en 1879, vigoureux et exhalant des plaintes nostalgiques, il ne saurait renier ses racines populaires et mérite une large reconnaissance.
Aussi stupéfiant qu’à sa création en 1961 à Varsovie, Thrène de Penderecki se souvient des victimes d’Hiroshima. Cordes en fusion ou lançant des traits de feu, cette page d’une violence hypnotique récolta de nombreuses récompenses et fit beaucoup pour la reconnaissance du compositeur polonais. Autre choc, Le Sacre du printemps avec ses soubresauts rythmiques, ses forces primitives déchaînées, son exaltation charnelle de la danse ; la partition sent toujours le soufre plus d’un siècle après sa création tumultueuse. Le Concerto pour violon de Dvořák, véritable havre de paix, offre un contraste absolu. Composé en 1879, vigoureux et exhalant des plaintes nostalgiques, il ne saurait renier ses racines populaires et mérite une large reconnaissance.
Tarifs : 50€, 40€, 35€, 25€, 20€, 10€